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Formats
Prix
Jazz manouche
-
-
Spiritual Project And Voices
David Reinhardt , Elisée Ruddenklau , Ysaac Dess , Dominique Di Piazza , Philippe Hascoët
3560530408327
À l'instar de grandes figures afro-américaines, Duke Ellington ou John Coltrane, le petit-fils de Django Reinhardt répond à l'appel de la spiritualité en inscrivant cet album dans la sphère sacrée de la musique jazz, marquée notamment par les negro spirituals et le gospel. Conformément à l'esprit des Reinhardt, David offre une musique résolument lyrique et moderne.
Depuis 10 ans, David Reinhardt a répondu à l'appel de la spiritualité. Ce changement de direction dans sa vie personnelle l'a conduit à inscrire et transmettre cette expérience dans la musique. C'est dans ce contexte de musique sacrée que le musicien évolue et s'exprime aujourd'hui. Après avoir concrétisé son Spiritual Project (Cristal records, 2015), David revient avec un 2ème volet de cette aventure musicale et spirituelle.
Si le jazz s'enracine lui-même dans la sphère sacrée (negro-spirituals, gospel), de grands maîtres du jazz se sont illustrés par leurs oeuvres dans ce domaine : le pianiste et compositeur Duke Ellington, la pianiste Mary Lou Williams, le saxophoniste John Coltrane,... Quant au grand-père de David, le célèbre Django Reinhardt, il s'était également attelé à une Messe restée malheureusement inachevée. À l'image de son grand-père Django et de son père Babik en leur temps, c'est vers une forme de jazz résolument moderne, axée ici sur le groove, sans exclure pour autant la dimension lyrique, que s'est tourné David pour camper son univers. Il a souhaité s'entourer de musiciens qui partagent avec lui cette foi et ce message, qui ancrent ce projet dans sa dimension spirituelle. Si l'instrumentation ne manque pas de mettre les guitares en valeur, l'habillage sonore fait appel aux claviers tenus par Ysaac Dess, le tout solidement appuyé sur la batterie de Philippe Hascoët et la basse électrique de Dominique Di Piazza, dont la stature internationale constitue un véritable atout.
Le répertoire, complètement original, se compose ici d'une majorité de pièces chantées, dont les titres ne laissent planer aucune ambiguïté : « Conversion », « Nouvelle Naissance », « Paix sur Terre », « La Joie de l'Éternel »,... Dans un souci d'universalisme, David a souhaité qu'une diversité de langues soit représentée : français, anglais, italien, espagnol, hébreu, romanès - ce qui ouvre indéniablement la perspective. -
Russian Lullaby
Pansch Weiss Et Jimmy Hoffmann Quartet , Pansch Weiss , Jimmy Hoffmann , Benji Winterstein , Thierry
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Pansch WEISS est un jeune guitariste prodige originaire de l'Est de la France. Il grandit dans une famille de musicien, du côté de sa mère et de son père. Ce dernier lui apprend la guitare, les solos de Django REINHARDT, mais également ses propres solos et compositions. Pansch s'inspire à ses débuts de Lulu REINHARDT et de Dorado SCHMITT. Il se produit à partir de 16 ans en famille en Alsace et en Lorraine. Il développe alors un style personnel, tout en restant dans la pure tradition du jazz manouche. A 20 ans, il commence à se produire sur les scènes nationales et internationales, notamment à DjangoFest NW à Langley aux Etats-Unis avec le violoniste Tim KLIPHUIS, en Norvège à Oslo et sur quelques festivals en France.
Aujourd'hui, Pansch WEISS est un musicien de renommé internationale, qui possède un jeu agressif et percutant, avec des descentes chromatiques vertigineuse, des séries d'accords qui relancent la dynamique musicale, et des placements rythmiques et mélodiques étonnants et énergiques, garantissant une efficacité redoutable.
Pansch se produit avec Jimmy HOFFAMNN, jeune violoniste talentueux de Nancy, qui partage avec lui ses sources d'inspiration manouche et ses origines. A eux deux, ils sont probablement les musiciens qui représentent le mieux cette école si particulière du style manouche de l'Est de la France, mêlant czardas, swings et rythmes en tout genre, tout en conservant finesse et sensualité. - - Il se produit donc en quartet avec Jimmy HOFFMANN au violon, Benji WINTERSTEIN à la guitare rythmique et avec le contrebassiste Thierry CHANTELOUP.
Pansch WEISS incarne le fruit d'un héritage familial précieux et inestimable. L'écouter est tout simplement un délice et un régal ! -
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Minor Swing, le quintette à cordes - 1937 (Vinyl)
Django Reinhardt , Stéphane Grapelli
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UN MONUMENT ! ENFIN DISPONIBLE EN VINYLE
L'ACTE DE NAISSANCE DU JAZZ EUROPÉEN.
Centré sur l'année 1937, ce premier vinyle est consacré à l'âge d'or du Quintette à cordes du Hot Club de France de Django Reinhardt et Stéphane Grappelli. À l'occasion de l'Exposition Universelle à Paris, le Quintette du Hot Club de France prend son envol et devient une formation très en vue, aussi bien par l'originalité de sa musique que par la qualité des solistes qui l'animent. Django Reinhardt et Stéphane Grappelli s'imposent alors comme les maîtres d'une nouvelle forme de jazz 'à cordes' et comme les deux plus grandes figures du jazz européen.
Emblématique de cette période, 'Minor Swing' devient le tube légendaire du célèbre Quintette.
En bonus inédit, 'Casanova', le dernier enregistrement de Django Reinhardt avant son accident de 1928, totalement inédit en vinyle.
« Cette oeuvre phare envoie directement Django et son ami Stéphane au panthéon du jazz ! » (Didier Lockwood) -
'Birth of The Cow' est le cinquième disque du RP Quartet en quatorze ans d'existence. Un groupe qui propose toujours un jeu de mot à chaque titre d'album, en référence à l'histoire du jazz (ici Birth of the Cool), ainsi qu'un nom d'animal mis en avant (après l'écrevisse, le poulet, la chèvre et le poney, c'est maintenant la vache qui est à l'honneur !).
Ce groupe de musiciens virtuoses aime pratiquer l'humour, mais ils proposent surtout un jazz manouche moderne et exigeant, en publiant des albums avec une grande régularité autour de projets attachants et excitants.
Ce 'Birth of The Cow' n'échappe pas à la règle et offre un très bel éventail des différents styles de jazz qu'ils arrangent avec talent dans le style manouche. Des morceaux interprétés avec beaucoup de ferveur et d'efficacité autour d'un répertoire qui mélange avec bonheur des reprises connues, des compositions personnelles, et des reprises plus rares et surprenantes.
Bastien Ribot (violon), Edouard Pennes (guitare), Rémi Oswald (guitare) et Damien Varaillon (contrebasse) se connaissent parfaitement bien et ont su créer au fil des ans une très belle complicité en créant un son de groupe cohérent et homogène, où chaque membre est à sa juste place et où personne ne tire la couverture vers lui. Leur musique exigeante et particulièrement difficile à jouer, coule pourtant de source autour d'une grande fluidité de jeu avec un aspect joyeux et beaucoup de fraîcheur, à l'image des grands noms de l'histoire du jazz qu'ils reprennent avec beaucoup de respect et d'humilité. -
Bénéficiant d'une qualité sonore exceptionnelle grâce aux techniques de remastérisation les plus modernes, les rééditions de l'oeuvre de Django Reinhardt par Label Ouest se sont imposées comme le travail d'envergure le plus récent consacré à la musique du génial Manouche. De cette collection de référence, saluée par la presse (Choc Jazz Magazine, Must TSF Jazz...), nous offrons aujourd'hui la quintessence, à travers une série de quatre albums, publiés pour la première fois en vinyle.
En 1953, le producteur américain Norman Granz confie à Eddie Barclay l'enregistrement d'un album destiné à promouvoir la musique de Django Reinhardt aux États-Unis et à relancer sa carrière sur le plan international. Le guitariste est alors au sommet de son art expressif, sur l'instrument amplifié. Ce sera l'unique LP enregistré par Django de son vivant, bénéficiant d'une qualité de son inégalée, sublimée ici par la remastérisation de Jean-Pierre Bouquet. L'ensemble est complété par une sélection de titres issus de séances de la même année, dont la toute dernière, quelques semaines à peine avant le décès de l'artiste.
La rétrospective de l'oeuvre de Django Reinhardt parue en une série de coffrets entre 2015 et 2022, est devenue une collection de référence saluée par la presse (Choc Jazz Magazine, Must TSF Jazz...), offrant le meilleur de Django avec le meilleur son.
Retrouvez la quintessence de cette oeuvre à travers cette série de vinyles, bénéficiant d'une qualité sonore exceptionnelle grâce au travail de remastérisation effectué. -
Enregistrements inédits de Stéphane Grappelli au piano, pour la première fois accessible aux mélomanes.
Stéphane Grappelli restera dans les mémoires une légende du violon mais il ne faut pas oublier que le piano était son premier instrument. C'était selon lui l'instrument essentiel pour maîtriser les accords et les harmonies.
Bien que le talentueux violoniste fût également un excellent pianiste, les témoignages enregistrés de Stéphane Grappelli au piano sont très rares. Ces enregistrements inédits révèlent un artiste d'humeur badine, qui, de standards en paraphrases, déploie toute l'étendue de son inspiration, servie par un talent d'exception.
Une magnifique découverte à l'occasion du 25e anniversaire de la disparition du musicien !
Stéphane Grappelli est un des inventeurs du violon jazz. Très jeune, il entame une carrière professionnelle en accompagnant les films muets au piano et au violon dans les cinémas, puis en jouant dans les dancings et les cabarets. Sa rencontre avec le guitariste Django Reinhardt, au début des années 30, suivie par la création du Quintette à cordes du Hot Club de France, sera déterminante. Surpris par la déclaration de guerre lors d'une tournée en Angleterre en 1939, il y restera jusqu'à la fin du conflit mondial et y développera sa propre carrière, jouant notamment avec le pianiste George Shearing. Il enregistre et se produit ensuite avec les plus grandes figures du jazz (Duke Ellington, Jean-Luc Ponty, Barney Kessel, Earl Hines, Gary Burton...), tout au long des années 50 et 60, avant d'accéder au statut de star internationale du violon suite à sa collaboration avec Yehudi Menuhin au début des années 70. Dès lors, pendant près de vingt-cinq ans, Stéphane enchaînera, jusqu'à la fin de sa vie, tournées internationales et collaborations prestigieuses (avec Paul Simon, Oscar Peterson, Baden Powell, Pink Floyd, Yo Yo Ma, Michel Legrand...)
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Gainsb'art
Django Allstars , Samson Schmitt , Pierre Blanchard , Ludovic Beier , Philippe Cuillerier
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Familier des plus grandes scènes aux États-Unis (Carnegie Hall, Birdland, Newport Jazz Festival, Hollywood Bowl...), le Django AllStars rend hommage au plus "anglo-saxon" des chanteurs français, l'année des 30 ans de sa disparition. De La Javanaise au Poinçonneur des Lilas, en passant par Jane B. et Élisa, onze tubes incontournables de Serge Gainsbourg revisités aux couleurs chatoyantes du jazz manouche (guitare, violon et accordéon), par cinq des meilleurs spécialistes du genre, avec la complicité du peintre Red Dito.
Serge Gainsbourg, dit-on, prit des cours de guitare avec Matelot Ferré, référence incontournable en matière de gypsy jazz. C'est donc en toute sympathie que les cordes de la guitare de Samson Schmitt, virtuose manouche du Django AllStars, jointes à celles du violon de Pierre Blanchard et aux lames de l'accordéon de Ludovic Beier, vibrent à l'unisson, à l'occasion de cet hommage au génial trublion de la chanson française, l'année des trente ans de sa disparition. Pleinement motivée, cette touche manouche... dont la relecture d'Élisa représente sans doute l'archétype... se décline ici selon une subtilité volontiers classieuse, qui aurait à coup sûr emballé son illustre inspirateur. Elle s'adjoint en outre le concours du pinceau et de la palette de Red Dito, dont les toiles forment un heureux contrepoint à la musique... une conjonction on
ne peut plus pertinente quand on sait quelle place occupa la peinture dans l'itinéraire du grand Serge.
Ajoutons que cet album fut composé et enregistré par nos amis du Django AllStars en plein confinement. Un petit tour de force lorsqu'on mesure à quel point l'isolement de chacun parvient à se résorber dans la miraculeuse cohésion de l'ensemble.
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Quand la guitare célèbre l'esprit des Reinhardt... Liens du sang et liens du coeur se mêlent pour rendre hommage à la famille Reinhardt à travers l'inspiration de Django, bien sûr, mais aussi celle de son frère Joseph et de son fils Babik. Vingt ans après leurs débuts au sein du Trio Reinhardt, Noé Reinhardt et Samy Daussat ressuscitent cette formule à trois guitares. Ils convient à la fête David Reinhardt (fils de Babik et petit-fils de Django), qui s'illustre ici comme soliste invité et compositeur, et accueillent la talentueuse Katia Schiavone, nouvelle étoile montante de la guitare jazz venue d'Italie. Cet ancrage méditerranéen revivifie l'idiome manouche et la vision résolument ouverte et actuelle défendue par le trio.
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Bénéficiant d'une qualité sonore exceptionnelle grâce aux techniques de remastérisation les plus modernes, les rééditions de l'oeuvre de Django Reinhardt par Label Ouest se sont imposées comme le travail d'envergure le plus récent consacré à la musique du génial Manouche. De cette collection de référence, saluée par la presse (Choc Jazz Magazine, Must TSF Jazz...), nous offrons aujourd'hui la quintessence, à travers une série de quatre albums, publiés pour la première fois en vinyle.
Les sessions de Reinhardt et Grappelli à Rome en 1949 constituent à la fois la toute dernière rencontre discographique des deux maîtres du jazz européen et l'ultime témoignage enregistré de Django à la guitare acoustique. Accompagnés par le trio du pianiste italien Gianni Safred, les deux artistes, au faîte de leur maturité et de leur complicité, se sont rarement exprimés avec un tel brio et une telle générosité. Ils offrent ici de nouvelles interprétations de quelques-uns de leurs « classiques » (Djangology, Minor Swing, Daphné...), sollicitent certaines de leurs créations les plus récentes (Troublant Boléro, Webster...), tout en rendant un superbe coup de chapeau à la chanson française (Ménilmontant, La Mer, Où es-tu mon amour ?...). Impérieux et définif !
La rétrospective de l'oeuvre de Django Reinhardt parue en une série de coffrets entre 2015 et 2022, est devenue une collection de référence saluée par la presse (Choc Jazz Magazine, Must TSF Jazz...), offrant le meilleur de Django avec le meilleur son.
Retrouvez la quintessence de cette oeuvre à travers cette série de vinyles, bénéficiant d'une qualité sonore exceptionnelle grâce au travail de remastérisation effectué. -
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Retrouvez les plus grandes légendes de la chanson française, sublimées par Harcourt, dans une magnifique collection vinyles aux couleurs du studio
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Guitariste de renommée internationale, Biréli Lagrène fait son retour en revisitant le répertoire de l'auteur compositeur français Louis Gasté. Biréli Lagrène et Louis Gasté ont un point commun, une passion pour Django Reinhardt. Pour ce disque, Biréli Lagrène a travaillé en étroite collaboration avec Line Renaud, chanteuse et actrice française, et veuve de Loulou Gasté. Pour le guitariste virtuose, ce disque est l'occasion de revisiter en mode jazz manouche des classiques tels que "Un amour d'été", "Ma cabane au Canada", "Rose de mai" ou le mondialement célèbre "Feelings" (repris par Elvis Presley, Frank Sinatra, Nina, Simone, Shirley Bassey, The Offspring...). Ce disque 'songbook' est un voyage musical étonnant, d'une classe absolue.
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Une approche surprenante, en version swing, des grands classiques de l'opéra (Le Barbier de Séville, La Tosca, Roméo et Juliette...) génialement arrangés et interprétés.
Quand le jazz manouche s'invite à l'Opéra... Les tubes de l'Opéra (Rossini, Puccini, Bellini, Tchaïkovski, Massenet, Wagner, Offenbach, Bizet, Prokoviev...) revisités en version swing par les solistes de l'Orchestre de Paris et la guitare de Samy Daussat.
Un cocktail de virtuosité et d'émotion, à la croisée de deux mondes.
Rassemblant quatre musiciens de l'Orchestre de Paris associés à un spécialiste reconnu de la guitare manouche, le projet "Off Swing" a vu le jour en 2016, sous l'impulsion du Off des Musiciens de l'Orchestre de Paris. À l'occasion de « concerts promenades » autour de la musique italienne, au Musée de la Musique de la Philharmonie de Paris, une complicité se tisse entre les cinq partenaires, qui décident immédiatement de prolonger l'aventure. Ils se produisent alors dans plusieurs salles parisiennes (la Petite Halle, la Bellevilloise), ainsi qu'au festival Musique en Ré.
Pour les membres du groupe, le challenge consiste à proposer des adaptations originales dans un esprit "swing" de pièces du répertoire classique qu'ils pratiquent habituellement à l'Orchestre. Pour autant, ils ne conçoivent pas cette rencontre comme une simple « juxtaposition » des deux univers, mais s'attachent au contraire à traquer dans les pièces qu'ils choisissent les connexions et autres enchaînements harmoniques qui vont s'avérer fructueux, susceptibles de développements savoureux et pertinents, souvent propices à l'improvisation et à la spontanéité. Ils parviennent ainsi à débusquer quelques trésors, comme ce parallèle qui s'imposait entre le choeur à bouche fermée de Madame Butterfly et le Tornerai de Dino Olivieri et Nino Rastelli, connu dans l'univers du swing grâce à la reprise de la version française (J'attendrai), concoctée par Django Reinhardt et Stéphane Grappelli.
Influences, suggestions, citations, transferts... autant dire que l'auditeur n'est pas au bout de ses surprises à l'écoute de ce premier album du groupe, consacré aux thèmes d'opéras, tant les "passages" esquissés laissent entrevoir de merveilles insoupçonnées et de lumières purement chatoyantes. -
La Marseillaise - Le quintette à cordes 1946-1947
Django Reinhardt , Stéphane Grappelli
3560530408020
La rétrospective de l'oeuvre de Django Reinhardt parue en une série de coffrets entre 2015 et 2022, est devenue une collection de référence saluée par la presse (Choc Jazz Magazine, Must TSF Jazz...), offrant le meilleur de Django avec le meilleur son.
Retrouvez la quintessence de cette oeuvre à travers cette série de vinyles, bénéficiant d'une qualité sonore exceptionnelle grâce au travail de remastérisation effectué.
Six années se sont écoulées depuis la déclaration de guerre de 1939. Six années pendant lesquelles Django et Stéphane n'ont pu jouer ensemble, le violoniste étant resté à Londres. À l'issue du conflit mondial, on pense bien sûr à reformer le fameux Quintette à cordes. Les deux amis se retrouvent donc à Londres - où Stéphane a désormais élu domicile - à la fin de janvier 1946. Les accompagnateurs réguliers du Quintette n'ayant pu obtenir leur visa à temps, c'est à une rythmique anglaise qu'on fait appel pour les séances des 31 janvier et 1er février 1946. Elle apportera souplesse et légèreté à la musique des deux virtuoses.
Dans les studios d'Abbey Road, Charles Delaunay cherche à recréer la magie des retrouvailles entre Django et Stéphane. Deux jours plus tôt en effet, l'hymne national avait spontanément jailli sous leurs doigts, dans un moment de communion immédiate. On enregistre donc cette inoubliable version de La Marseillaise (Échos de France), dont la radiodiffusion restera malheureusement interdite sur les ondes françaises pendant de trop longues années ! Le programme est notamment complété par les nouvelles compositions de Django, surgies durant les années de guerre : Mélodie au crépuscule, Belleville et bien sûr Nuages, que le violoniste et le guitariste enregistrent ensemble pour la première fois.
L'année suivante, c'est à Paris que se reformera le Quintette, cette fois en compagnie de Joseph Reinhardt et Eugènes Vées aux guitares (respectivement frère et cousin germain de Django) et Fred Ermelin à la contrebasse. Le 21 novembre 1947, lors d'une séance pour la Radio Diffusion Française, la cohésion du groupe est à son apogée, saisie sur le vif, avec une rare présence sonore. Un état de grâce que R-Vingt-Six, récente création des deux acolytes interprétée à cette occasion, illustre magnifiquement. -
Né en 1910, Django Reinhardt est considéré comme l'un des meilleurs guitaristes qui ait jamais existé.
Son style de jeu et de composition a ensuite été imité, créant un genre musical à part entière : le Jazz
Manouche. Son influence sur les guitaristes est encore majeure aujourd'hui.
Virtuose de génie malgré une main handicapée, quasiment autodidacte, Django est un des premiers à
comprendre le Be Bop, cette révolution du Jazz, venue des USA portée par Parker et Gillepsie. Il aura
même le privilège d'être un des seuls européens à traverser l'Atlantique pour intégrer le grand orchestre
de Duke Ellington pour une tournée à sensation à travers tous les Etats-Unis. Il meurt prématurément
après avoir enregistré son dernier disque en 1953 ; son interprétation vibrante de Nuages fera dire à
certains que le guitariste s'attendait à disparaître.
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DJANGO REINHARDT L'EXPLOSION SONORE ! - ÉDITION DELUXE 3 CD: CD 1: BABIK --- CD 2 : DJANGO'S DREAM --- CD 3 : MANOIR DE MES RÊVES --- AVEC POUR LA 1ÈRE FOIS REMISE AU DIAPASON ! VOUS ALLEZ ENTENDRE TOUS LES TITRES DE CETTE ANNÉE CHARNIÈRE DANS LA CARRIÈRE DE DJANGO REINHARDT, COMME VOUS NE LES AVEZ JAMAIS ENTENDUS AUPARAVANT!
A son retour des Etats-Unis, en 1947, Django Reinhardt décide d'électrifier sa guitare. Entouré d'une poignée de fidèles, dont le clarinettiste Hubert Rostaing, alors au sommet de son art, le génial manouche revisite ses plus grands thèmes, transfigurés par l'électricité. UN EXPRESSIONNISME SONORE UNIQUE, QUI PRÉFIGURE AVEC 20 ANS D'AVANCE CE QUE SERA L'AVENIR DE LA GUITARE.
ALBUM DE LA SEMAINE "FIP"
« Ce coffret est magnifique ! Il y a une espèce d'identité, quelque chose de vraiment personnel et d'unique, mais avec beaucoup de variété et de couleurs différentes. C'est un super quintet ! J'adore cette période souvent méconnue de Django. » --- Philip CATHERINE ---.
« Le 21 mai 1947, il enregistre à Bruxelles pour Decca sa première séance à la guitare amplifiée, qui marque le début d'une nouvelle quête sonore. En s'appropriant peu à peu l'amplification électrique de l'instrument, cette recherche de sonorités va constituer le principal terrain d'expérimentation de Django à cette période - une étape indispensable pour retrouver ses marques et permettre les conditions d'un nouveau " placement " dans l'orchestre. Parmi les éléments " bop " que le guitariste commence à greffer dans ce contexte d'orchestre " swing " (cf. par exemple la ligne mélodique de Babik, un thème dédié à son fils - né trois ans plus tôt - enregistré lors de cette séance du 21 mai), le renouvellement de la matière sonore proprement guitaristique est ce qui frappe avant tout l'auditeur. " Pour la première fois, déclare le clarinettiste Gérard Lévecque, il pouvait rivaliser en volume sonore avec des trompettes ou des saxophones - et même mieux : jouant en accords, il donnait l'illusion d'être un grand orchestre à lui tout seul. " D'où l'intérêt de Reinhardt pour la musique d'un Gillespie, dont il va essayer de transposer les sortilèges sur l'instrument à cordes. Mais, renouant ainsi avec ce qui a toujours été l'une de ses fonctions de prédilection dans le quintette à cordes (" faire l'orchestre ", en déployant l'éventail de ses immenses ressources musicales), Django ne va pas simplement se contenter de gagner en volume sonore ou en sustain audible, il va creuser plus avant le potentiel de l'amplification, en n'hésitant pas à " tordre " le son et faire chauffer les lampes, préfigurant ce que sera l'avenir de la guitare électrique une vingtaine d'années plus tard. Cet expressionnisme sonore, qu'aucun autre guitariste de jazz n'adoptera à cette période, est particulièrement sensible lorsque le musicien reprend en quintette des titres interprétés en grand orchestre (Stockholm, Féerie) ou lorsqu'il en compose de nouveaux qui auraient pu l'être (Porto Cabello).
Avant de partir pour une tournée en Allemagne à l'été avec le pianiste Eddie Bernard et le jeune clarinettiste Maurice Meunier, Django grave une série de titres pour un nouveau label dirigé par un ex-musicien devenu producteur. " Eddie Barclay, explique Hubert Rostaing, nous laissait une liberté totale pour choisir les titres à enregistrer. Comme cela nous étions très à l'aise, car Django n'enregistrait que la musique qui lui plaisait. Ses propres compositions, bien sûr, mais aussi des thèmes commerciaux de l'époque qu'il adaptait à sa convenance, ou encore des adaptations de thèmes d'inspiration folklorique, bref, la musique qu'il aimait. " Notons qu'à cette période Django s'exprime également volontiers sur le blues (cf. Del Salle, Blues for Barclay, Swingtime in Springtime, New York City), matériau très prisé des boppers, dont la simplicité laisse évidemment les coudées franches à l'improvisateur. Quant à la tournée allemande, elle va être gâchée en partie par des problèmes de sonorisation, le guitariste n'ayant pas apporté d'ampli avec lui. Cela le conduira-t-il à changer de matériel à son retour, troquant son micro DeArmond contre un nouveau prototype concocté par l'ingénieur Jean Guen, créateur de la marque Stimer ? Toujours est-il que sa sonorité semble changer lors de la séance du 29 août, et qu'elle devient carrément plus incisive lors des enregistrements pour l'émission " Surprise-Partie " d'Anne-Marie Duverney en septembre. " Ne me parlez pas de musique. En ce moment, je peins.", déclare Django, qui a inauguré sa première exposition au Boeuf sur le toit en mars et transforme à cette époque la pièce principale de son appartement de la place Pigalle en atelier de peinture. Mais la peinture l'éloigne-t-elle tellement de la musique ? Ou lui permet-elle de projeter et de résoudre sur un autre plan des problèmes auxquels il se trouve confronté ? Couleurs, composition... " Instinctivement, il est attiré par les problèmes plastiques fondamentaux ", note Charles Delaunay. L'analogie se révèle en tout cas très parlante. Si, sur le plan pictural, la manière de Django peut évoquer celle d'un Gauguin, rapportée à sa sonorité, sa facture musicale penche indubitablement du côté du fauvisme et de l'expressionnisme, pour évoluer vers une forme d'" abstraction lyrique " à la fin de sa vie. Coïncidence ou hasards de la chronologie, Georges Mathieu lance justement ce nouveau mouvement (inspiré notamment par Mirò) en 1947 ! L'année 1947 apparaît en tout cas comme une véritable " charnière " dans la carrière du guitariste et le cheminement de son art. Nous avons fait le choix d'en proposer un large panorama, à travers un programme pas tout à fait exhaustif (Django enregistre beaucoup), mais constitué de séances complètes, qui permettent de l'entendre dialoguer successivement avec les trois clarinettistes qui lui donnent la réplique à cette période (Hubert Rostaing, Maurice Meunier et Gérard Lévecque), les sections rythmiques s'avérant par ailleurs particulièrement stables (Eugène Vées ou Joseph Reinhardt à la guitare d'accompagnement, flanqués le plus souvent d'Emmanuel Soudieux à la contrebasse et d'André Jourdan à la batterie). Exceptions à cette règle, la version de Topsy du 4 octobre, qui offre un point de comparaison utile avec celle de Charlie Christian de mai 1941 (autre tenant de l'électricité et passeur " du swing au bop ", à la trajectoire malheureusement trop tôt interrompue), et un New York City en forme de blues signé Eddie Barclay dont le dépouillement et la fermeté de la ligne trahissent incontestablement la " patte " du guitariste, souvenir ou rappel de l'impulsion décisive de son expérience américaine. » --- Max ROBIN ---. -
Biréli Lagrène, musicien sans équivalent dans l’univers du jazz et des musiques improvisées. Sans lui, le jazz actuel ne serait pas tout à fait le même. Les plus grands guitaristes de la planète le distinguent avec respect, pour sa technique fabuleuse et son niveau d’inspiration hors norme.
Le monde entier nous l’envie.
Sa musique est claire, brute et sans artifice : elle coule d’une source intarissable héritée d’une histoire multiséculaire : plus de mille ans de musique pour une alchimie miraculeuse mêlant cultures tziganes, emprunts hétéroclites aux grands standards du jazz, au folklore bavarois, à Bach ou au patrimoine de la chanson française.
Ma musique ? C’est du Blues avec un peu d’harmonie. Voilà ce qu’en dit l’intéressé.
Sa guitare nous exalte une vie de mystère et d’amour qui touche au coeur.
C’est là son vrai génie.
Après avoir exploré toutes les pistes du jazz en compagnie des plus grands musiciens de son époque, Biréli Lagrène se livre pour la première fois sur disque à l’exercice du solo. -
Les titres qui ont fait sa réputation, en trio, en quintette ou accompagné d’une grande formation, sont réunis sur un vinyle. Sa biographie, écrite par Alain Gerber, est illustrée par Jean Charles Baty
Django est un authentique génie de la guitare : autodidacte complet, il s’est forgé un style à la technique effarante (bien que privé de deux doigts de la main gauche à la suite d’un accident), sorte de fusion entre le jazz et la musique tsigane, dont l’incroyable drive, la richesse de l’inspiration et la virtuosité des traits continuent soixante-dix ans après sa mort à hanter les nuits de bien des guitaristes. -
Le 3 septembre 1939, lorsque survient la déclaration de guerre, le Quintette (à cordes) du Hot Club de France est en tournée en Angleterre. Dès la première alerte, Django rentre précipitamment en France. Grappelli reste à Londres. Les deux partenaires ne se retrouveront qu'en janvier 1946. Ce coup du sort va marquer un tournant décisif dans la carrière et l'évolution du guitariste. L'art de Django s'est fortifié et épanoui, touchant un nouveau public, donnant au jazz français ses lettres de noblesse, symbole de vitalité et de jeunesse. Rarement une musique aussi élaborée aura recueilli à ce point l'adhésion populaire, catalysant à elle seule la sensibilité d'une époque. En se jetant à corps perdu dans l'aventure, Django a définitivement choisi son camp (celui du jazz et de la musique), et n'en démordra jamais.
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LA LEGENDE VIVANTE DU JAZZ MANOUCHE.
Tchavolo Schmitt reste le héros d'un style épuré et basé sur un swing chirurgical avec un sens incroyable de la mélodie !
Charles ' Tchavolo ' Schmitt est une référence, c'est un repère. Il personnifie un art oublié. Une ' manière ' qu'on pensait à jamais perdue dans les méandres de l'histoire du jazz.
C'est une trace unique pour Tchavolo Schmitt qui se présente sans artifice devant vous. Écouter la poésie de son discours, sa franchise à l'état brut qui fait de lui le plus sincère des disciples du grand maître Django...son étoile, en langue gitane, on dit ' Miri Chterna '.